Contacts en RRC

Le projet de renforcement des capacités de financement des risques de catastrophe en Afrique (ADRiFi) vise à renforcer la capacité de gestion des risques de catastrophe du Zimbabwe. Cet appui provient d'un dialogue avec le pays en relation avec sa participation au programme phare de la Banque sur le financement des risques de catastrophe: le Programme africain de financement des risques de catastrophe (ADRiFi), qui vise à renforcer la résilience et la réponse aux chocs climatiques dans les pays membres régionaux (PMR), à travers la gestion des risques de catastrophes climatiques. Le projet renforcera la capacité du Zimbabwe à gérer les risques d’événements climatiques extrêmes, notamment les sécheresses, les inondations et les cyclones tropicaux, et encouragera l’adoption d’outils de financement des risques de catastrophe tels que l’assurance souveraine des risques, comme solution viable pour lutter contre les risques climatiques.

L'African Risk Capacity (ARC) est une agence spécialisée de l'Union africaine créée pour aider les gouvernements africains à améliorer leurs capacités à mieux planifier, préparer et répondre aux événements météorologiques extrêmes et aux catastrophes naturelles. Grâce à la collaboration et à des financements innovants, l'ARC permet aux pays de renforcer leurs systèmes de gestion des risques de catastrophe et d'accéder à un financement rapide et prévisible en cas de catastrophe pour protéger la sécurité alimentaire et les moyens de subsistance de leurs populations vulnérables.

La mission de l'ARC est d'utiliser des mécanismes de financement modernes, tels que la mise en commun des risques et le transfert des risques, pour créer des systèmes panafricains de réponse au climat qui permettent aux pays africains de répondre aux besoins des personnes touchées par les catastrophes naturelles.

ARC est composé d'ARC Agency, une agence spécialisée de l'Union africaine, et d'ARC Insurance Company Limited (ARC Ltd), une filiale financière qui fournit des services de transfert de risques. Ensemble, ils offrent une solution globale et continentale pour permettre des réponses rapides et ciblées aux catastrophes naturelles en Afrique à travers le renforcement des capacités et des mécanismes de financement innovants.

L'Agence suédoise des contingences civiles coopère à la préparation aux catastrophes et à la réponse aux problèmes concernant la protection civile, la sécurité publique, la gestion des urgences et la protection civile dans le monde entier.

UNOSAT est un programme à forte intensité technologique de l'Institut des Nations Unies pour la formation et la recherche (UNITAR) mis en œuvre avec le soutien de l'Organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN) et en partenariat avec des organisations des Nations Unies et non-ONU.

Son service de cartographie rapide humanitaire fournit des analyses d'images et des solutions satellites aux organisations de secours et de développement au sein et en dehors du système des Nations Unies pour aider à faire la différence dans des domaines critiques tels que les secours humanitaires, la sécurité humaine, la planification stratégique territoriale et du développement.

UNOSAT développe des solutions en tenant compte des besoins des bénéficiaires en fin de processus.

Les 193 États membres de l'Organisation sont représentés à l'Assemblée générale - l'un des six principaux organes des Nations Unies - pour discuter et travailler ensemble sur un large éventail de questions internationales couvertes par la Charte des Nations Unies, telles que le développement, la paix et sécurité, droit international, etc.

Chaque année en septembre, tous les Membres se réunissent dans ce forum unique au Siège à New York pour la session de l'Assemblée générale.

La disposition des sièges dans la salle de l'Assemblée générale change pour chaque session. Lors de la 74e session (2019-2020), le Ghana occupe le premier siège dans la salle, y compris dans les grandes commissions (suivi de tous les autres pays, dans l'ordre alphabétique anglais).

L'objectif primordial du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) est de stimuler le développement économique durable et le progrès social dans ses pays membres régionaux, contribuant ainsi à la réduction de la pauvreté.

Le Groupe de la Banque mondiale travaille dans tous les grands domaines du développement. Il fournit un large éventail de produits financiers et d'assistance technique, et aide les pays à partager et à appliquer des connaissances et des solutions innovantes aux défis auxquels ils sont confrontés.

L'UNOCHA fait partie du Secrétariat de l'ONU chargé de rassembler les acteurs humanitaires pour assurer des réponses cohérentes aux situations d'urgence.

L'UNDRR travaille à la réduction substantielle des risques et des pertes de catastrophes pour assurer un avenir durable et, parmi ses nombreuses activités, gère le PreventionWeb.

CARE International est une confédération mondiale de 14 membres travaillant ensemble pour lutter contre la pauvreté dans 95 pays. En tant qu'organisation humanitaire de premier plan, elle met un accent particulier sur le travail aux côtés des femmes afin d'exploiter leur pouvoir pour aider des familles entières et des communautés entières à échapper à la pauvreté.

Le programme Surveillance de l'environnement et de la sécurité en Afrique (MESA) est financé par l'Union européenne.

En 1999, la CDAA a créé le Comité régional d'évaluation de la vulnérabilité (RVAC) avec des partenaires coopérants internationaux et d'autres parties prenantes. Ce comité a dirigé des améliorations cruciales dans l'analyse de la vulnérabilité et la sécurité alimentaire au niveau régional et national.

Au niveau des États membres, les comités nationaux d'évaluation de la vulnérabilité (NVAC) coordonnent l'évaluation et l'analyse annuelles de la vulnérabilité. Les NVAC sont des comités multisectoriels dirigés par des ministères gouvernementaux compétents avec des membres très divers, qui comprennent différents départements gouvernementaux, des organisations non gouvernementales (ONG) et des organisations internationales impliquées dans la réduction de la pauvreté et le développement socio-économique. Les NVAC effectuent des évaluations de vulnérabilité annuelles et périodiques, en plus d'études spéciales sur des sujets sélectionnés tels que la nutrition, le changement climatique et les thèmes connexes qui sont essentiels dans l'évaluation et l'analyse de la vulnérabilité.

INFORM est une collaboration du Groupe de référence du Comité permanent interorganisations sur les risques, l'alerte rapide et la préparation et de la Commission européenne.
Le Centre commun de recherche de la Commission européenne est le responsable technique d'INFORM.

Le CRED est actif depuis plus de 40 ans dans les domaines des études internationales sur la santé des catastrophes et des conflits, avec des activités liant secours, réhabilitation et développement. Le Centre promeut la recherche, la formation et l'expertise technique sur les urgences humanitaires, notamment en santé publique et en épidémiologie.

En 1971, le professeur Michel F. Lechat, épidémiologiste à l'Université catholique de Louvain, a lancé un programme de recherche pour étudier les problèmes de santé dans les situations de catastrophe. Deux ans plus tard, il a créé CRED en tant qu'institution à but non lucratif avec un statut international. Le Centre est devenu un Centre collaborateur de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en 1980.

Après le départ à la retraite du professeur Lechat en 1992, le professeur Debarati Guha-Sapir, chercheur dans le programme depuis 1984, est devenu directeur du CRED.

Dans le cadre des efforts du Canada en matière d’affaires étrangères et de développement, le CRDI investit dans le savoir, l’innovation et des solutions pour améliorer la vie des gens dans les pays en développement.La recherche qu'elle soutient apporte des preuves pour briser le cycle de la pauvreté, réduire les inégalités et les vulnérabilités et aider les gens à vivre une vie plus saine et plus durable.

Le Centre des services climatiques de la CDAA fournit des services régionaux opérationnels pour la surveillance et la prévision des conditions climatiques extrêmes. Le Centre développe et diffuse des produits météorologiques, environnementaux et hydro-météorologiques.

Les produits du Centre contribuent à améliorer la gestion des risques de catastrophe dans la région et contribuent à assurer que les États membres sont mieux préparés aux catastrophes météorologiques et climatiques, à la conservation et à la protection des ressources naturelles.

Climat futur pour l'Afrique (FCFA) vise à générer une science du climat fondamentalement nouvelle axée sur l'Afrique et à garantir que cette science a un impact sur le développement humain à travers le continent.

Pour l'Afrique australe, coordonné par l'UNOCHA.

La Commission européenne est la branche exécutive de l'Union européenne (UE), chargée de proposer la législation, de mettre en œuvre les décisions, de faire respecter les traités de l'UE et de gérer les affaires courantes de l'UE.

La Conférence de coordination du développement de l'Afrique australe (CCDAA), créée le 1er avril 1980, a été le précurseur de la Communauté de développement de l'Afrique australe (CDAA).

La CCDAA a été transformée en CDAA le 17 août 1992 à Windhoek, en Namibie, où le Traité de la CDAA a été adopté, redéfinissant la base de la coopération entre les États membres d'une association informelle en un accord juridiquement contraignant.

Les principaux objectifs de la CDAA sont de réaliser le développement, la paix et la sécurité et la croissance économique, de réduire la pauvreté, d'améliorer le niveau et la qualité de vie des peuples d'Afrique australe et de soutenir les personnes socialement défavorisées à travers de l'intégration régionale, fondée sur des principes démocratiques et développement équitable et durable.